Né en 1935, Gérard BOUHOT, Docteur de l’Université de Paris et Docteur ès Sciences Appliquées, est Professeur Honoraire de l’Université Paris Xll où il était Directeur du Département des Technologies des Médias et de la section de l’Institut Universitaire Professionnalisé « Ingénierie de la Communication et des Industries Culturelles ». Auparavant il a été Directeur de Production au Centre Audio-Visuel de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud, où il a réalisé pour l’Enseignement Supérieur près de 100 films en 35 et 16 mm (particulièrement en géologie / océanographie et physiologie) et plus de 100 émissions par Circuits Fermés de Télévision (particulièrement en odontologie et médecine), et conduit de nombreuses recherches scientifiques par l’image.

Autodidacte en multimédia, il a assuré pendant plus de 30 ans des cours de photographie, de cinéma et de vidéo dans les deux établissements précités, tout en étant pendant 28 ans Rédacteur en Chef de « Phot’Argus : le Magazine Professionnel des Images et des Technologies »,vendu en 1995, disparu en 1998. Il a entre autres dans ce magazine suivi sur 20 ans la naissance puis l’émergence de la photographie numérique.

Il est à la retraite depuis 1996.

À partir de 2004, il a pratiqué la photographie numérique intensément et dans tous ses domaines [y compris spéciaux : infrarouge, prise de vue en IR dans le noir absolu (remake unique numérique d’un cliché argentique original de Kodak de 1935), stroboscopies, macro et pseudo-microphotographie sans microscope y compris en polarisation, effets sphériques, réalisation d’un Fish-eye à 10 €, diadème de gouttelettes de lait à la manière d’Edgerton, astrophotographie basique solaire et lunaire, etc.], et s’intéresse tout particulièrement à sa technologie, monde totalement négligé par les magazines [passage des Mp des capteurs aux Mo des fichiers, métamérie, aliasings, bandes de Mach, monde gris d’Evans, etc.]. Il a aussi abordé l’esthétique de la prise de vue [hasard de celle du 24 x 36 mm argentique quasi centenaire, emploi de la profondeur de champ extrême numérique, pseudos-nus, etc.].

Tous ces clichés sont réalisés avec des appareils numériques amateurs courants, avant tout compacts d’entrée de gamme…

 

NB : une partie de ses Billets résulte de textes adaptés à partir de son Traité de photographie numérique en attente de publication (peut être aux Éditions Pearson…).

Cela nous a conduits à héberger : « Les Billets du Prof »… Technologie numérique… qui mettent en évidence des points particuliers…